Mes recherches artistiques abordent la dualité technologies/arts numériques et techniques anciennes, en interrogeant les représentations et appréhensions suscitées par le progrès.

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Je m’intéresse aux regards que nous portons aux innovations technologiques. D’une part, ces avancées suscitent la défiance. Les technophobes estiment que les nouveaux outils sont plus néfastes qu’utiles : une nouvelle machine se substitue au travail autrefois réalisé par des êtres humains et les prive de leur activité. D’autre part, elles suscitent un enthousiasme chez les technophiles. Les gains de productivité et les progrès permis par l’innovation sont porteurs d’espérance

A l’instar du domaine industriel, le domaine artistique n’échappe pas à cette dialectique entre technophobie et technophilie.

L’accélération des progrès technologiques au vingt-et-unième siècle est susceptible de bouleverser la façon de faire de l’art avec notamment l’apparition de l’intelligence artificielle.

Ne souhaitant pas prendre parti dans un débat stérile entre technophobes et technophiles, je recherche la complémentarité entre technologie et activité humaine à travers différentes techniques : l’impression de photographie argentique, la réalisation, le montage vidéo, les codes de la danse.

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Différentes formes aboutissent en projets : performance de danse en galerie,  exposition photos immersive, courts- métrage, danse pour vidéo de communication, scénographie pour lives music.

 J'ai été récemment lauréate du Concours Nation Photo argentique, prix emporté en 48h de shoot sur le thème "oeil de Rêve, bulle onirique", dont le jury était composé de  professionels Fisheye magazine et Polka magazine. 

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